WEB SÉRIE

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VIOLence?

Dans 80% des cas, l'agresseur est une personne que l'on connait.

Tu n'es jamais coupable des violences sexuelles qui te sont arrivées. Il n'y a que l'agresseur qui est coupable.

Souvent, même si on est victime, on ressent de la honte et on n'ose pas demander de l'aide car on se sent responsable de ce qui est arrivé. On pense qu'on pourra oublier. Mais même si le souvenir devient moins fort avec le temps, souvent cela reste très présent à l'esprit. Parfois, l'agression est tellement traumatisante que, pour se protéger, le cerveau masque le souvenir (c'est la mémoire traumatique). La mémoire peut parfois revenir des années plus tard.

Ce que je vis ou j'ai vécu, est-ce que c'est de la violence sexuelle ?

Pour le savoir, réponds à ces questions :

Mon copain/ma copine, mon ex :

  • me force ou fait du chantage pour que je l'embrasse.
  • me touche à des zones sexuelles (sexe, fesses, seins) alors que je n'ai pas envie et continue même si je le lui dis d'arrêter.
  • me force ou fait du chantage pour avoir des relations sexuelles.
  • me force ou fait du chantage pour avoir certaines pratiques sexuelles.
  • diffuse, via les réseaux sociaux, par mails ou par d'autres moyens, des images intimes ou sexuelles de moi alors que je n'ai pas donné mon accord.
  • me force ou fait du chantage pour que je regarde des films ou des images pornos alors que je n'en ai pas envie.

Si tu as répondu OUI, même à une seule de ces questions, c'est que tu vis de la violence sexuelle.

Si tu veux en parler ou demander conseil, appelle le 0800 30 030 ou chat sur www.arrête.be. C'est gratuit et anonyme. De 9h à 19h, du lundi au vendredi, des professionnel-les répondent dans l'anonymat, te conseillent et t'orientent si nécessaire vers des services d'accompagnement. Les bénévoles de Télé accueil répondent en soirée, la nuit, le week-end et les jours fériés.

Tu veux mieux comprendre les différentes formes de violences sexuelles ?

Il y a différentes formes de violences sexuelles : l'agression sexuelle et le viol.

L'agression sexuelle

C'est lorsqu'un acte sexuel t'est imposé, c'est-à-dire, sans ton accord. La loi appelle cela « un attentat à la pudeur ».

Parfois on n'est pas capable ou il est très difficile :

  • de refuser : parce qu'on a peur (qu'il/elle ne m'aime plus, qu'il/elle me quitte, …) ou qu'il/elle fait du chantage (si on n'accepte pas, il/elle fera quelque chose dont je n'ai pas envie).
  • de montrer son désaccord : parce qu'on est saoul-e, drogué-e, endormi-e ou encore en incapacité mentale ou physique de le faire.
  • de réagir : on est en état de choc, paralysé-e, pétrifié-e (c'est ce qu'on appelle l'effet de sidération). On a parfois l'impression qu'on regarde notre corps subir l'agression, sans être vraiment là, comme si ce n'était pas réel. Ce mécanisme de déconnexion est un mode de défense du cerveau (c'est ce qu'on appelle la dissociation traumatique).

Même si tu n'as pas refusé clairement, réagi ou montré ton désaccord, c'est une agression sexuelle.

Quelques exemples d'agression sexuelle :

  • Quelqu'un essaye de t'embraser de force
  • Quelqu'un force la porte des toilettes et te regarde
  • Quelqu'un touche tes seins, tes fesses
  • Quelqu'un touche tes parties génitales
  • Quelqu'un t'oblige à te déshabiller et à être nu-e
  • Quelqu'un t'oblige à te masturber
  • Quelqu'un t'oblige à le/la masturber ou à le/la toucher sexuellement
  • Quelqu'un exhibe (montre volontairement) son sexe (= exhibitionnisme)

Le viol

C'est un viol, lorsque :

Si tu as moins de 14 ans

Si tu as moins de 14 ans : dans tous les cas, une relation sexuelle avec un-e jeune de moins de 14 ans est considérée comme un viol, même si il/elle est d'accord.

La loi estime qu'avant 14 ans, on n'est pas en mesure de donner son autorisation pour des relations sexuelles. La loi vise à protéger les jeunes contre les abus sexuels d'adultes ou de jeunes plus âgés qu'eux.

S'il s'agit d'une relation amoureuse entre deux jeunes dont l'un-e a moins de 14 ans et que les deux sont d'accord, la loi ne s'appliquera que s'il y a une plainte déposée par les parents ou quelqu'un qui est responsable de sa garde. Le ou la juge décidera au cas par cas.

Si tu as 14 ans ou plus

Il y a eu pénétration sexuelle : c'est-à-dire si qu'au moins une de ces situations a eu lieu :

  • Une personne a fait entrer quelque chose (un objet, un doigt, son sexe,…) dans ton sexe ou ton anus ou t'a obligé à le faire.
  • Une personne a mis son sexe dans ta bouche

ET

Tu n'étais pas d'accord (c'est ce qu'on appelle le consentement). Si tu veux en savoir plus sur le consentement et comment dire « non », va sur https://consentement.info

Parfois on n'est pas capable / il est très difficile :

  • de refuser : parce qu'on a peur (qu'il/elle ne m'aime plus, qu'il/elle me quitte, …) ou qu'il/elle fait du chantage (si on n'accepte pas, il/elle fera quelque chose dont je n'ai pas envie).
  • de montrer son désaccord : parce qu'on est saoul-e, drogué-e, endormi-e ou encore en incapacité mentale ou physique de le faire.
  • de réagir : on est en état de choc, paralysé-e, pétrifié-e (c'est ce qu'on appelle l'effet de sidération). On a parfois l'impression qu'on regarde notre corps subir l'agression, sans être vraiment là, comme si ce n'était pas réel. Ce mécanisme de déconnexion est un mode de défense du cerveau : c'est ce qu'on appelle la dissociation traumatique.

Même si tu n'as pas refusé clairement, réagi ou montré ton désaccord, c'est quand même un viol. 

Une relation sexuelle forcée peut avoir de nombreuses conséquences

Au niveau de la santé

  • Blessures
  • Problèmes gynécologiques : hémorragies vaginales, douleurs, infection urinaire,…

D'autre part, si l'agresseur n'a pas mis de préservatif :

  • Maladie et infection sexuellement transmissible (VIH/SIDA, hépatite B, herpès, …)
  • Grossesse non désirée

Au niveau psychologique 

Angoisses, dépression, perte de l'estime de soi, cauchemars, souvenirs envahissants, troubles de la concentration, sentiment d'être hors de son corps, dégoût pour tout contact physique ou sexuel, tentative de suicide, …

Que faire en cas de viol ?

Dans tous les cas, il est important d'aller consulter un-e médecin pour recevoir les 1er soins, faire les tests de dépistage et prendre un traitement médical si nécessaire : contraception d'urgence (pilule du lendemain), traitement contre les IST (maladie sexuellement transmissibles).

Si tu envisages de déposer plainte (même plusieurs mois après le viol), il est nécessaire de récolter les preuves biologiques du viol. On appelle ce test le Set d'agression sexuelle (SAS).

Idéalement, les traces sur toi ou tes vêtements doivent être prélevées dans les 3 jours qui suivent le viol. Après 72 heures, les traces seront plus difficilement retrouvées. Tu peux faire les tests et décider plus tard si tu veux déposer plainte ou pas.

Même sans preuve biologique, même bien après les événements, tu peux toujours aller déposer plainte mais il y aura moins d'éléments pour prouver le viol.

  • Si le viol vient de se produire : ne te lave pas, mets tes vêtements dans un sac en tissu ou en papier et rends-toi chez un-e médecin, un hôpital, un Centre de planning familial ou dans un Centre spécialisé en violences sexuelles. Va voir la partie BESOIN D'AIDE.
  • Le viol s'est produit il n'y a pas longtemps (moins de 72 heures) : même si tu t'es lavé-e, certaines traces pourraient encore être relevées. Cela vaut la peine d'essayer. Va voir la partie BESOIN D'AIDE.
  • Le viol s'est produit il y a longtemps : peut-être que certaines maladies (sexuellement transmissibles) sont en train de se développer. Ça vaut la peine que tu ailles chez un-e médecin faire des tests pour les déceler et te soigner.

Recevoir une aide psychologique

Souvent, la réaction de la victime est d'essayer d'oublier.

Parler avec des professionnels de cet événement traumatisant peut t'aider.

Les professionnels t'écouteront et t'aideront.

Prends rendez-vous avec un-e professionnel de la santé mentale, un-e psychologue

Cyberviolences sexistes et sexuelles, c'est quoi ?

Ce sont les violences sexuelles transmises via les réseaux sociaux (Instagram, Snapchat, Facebook…) et/ou par sms.

  • Insulter, critiquer ou faire des commentaires blessants ou à caractère sexuel sur le corps d'une personne, généralement une femme
  • Propager des rumeurs sur la vie amoureuse ou sexuelle de quelqu'un
  • Envoyer des messages, photos ou vidéos à caractère sexuel à une personne qui ne le souhaite pas
  • Créer un faux compte dans le but d'humilier quelqu'un (usurpation d'identité)
  • Diffuser des photos ou vidéos intimes sans l'accord de la personne photographiée, ou menacer de le faire…
  • Obliger une personne, par des intimidations, du chantage ou des menaces, à envoyer des photos ou des vidéos où elle/il doit se dénuder ou procéder à des actes sexuels sur elle/lui-même ou avec d'autres personnes .

Quelques termes spécifiques :

  • Revenge porn : photos ou vidéos à caractère sexuel publiées ou partagées sur Internet sans le consentement de la personne concernée, le plus souvent pour se venger suite à une rupture amoureuse.
  • Sexting / Sexto (contraction formée de «  sexe  » et de «  texto ») : envoi de messages à caractère sexuel par sms. Lorsqu'il est non consenti, ou diffusé sans le consentement, le sexto est une cyberviolence. Le sexting est également appelé sextopornographie.
  • Slut-shaming (qu'on peut traduire par « intimidation faite aux salopes » ou « honte faite aux salopes ») : Attitudes individuelles et collectives visant à critiquer ou déconsidérer une femme à cause de sa tenue, son comportement sexuel (réel/supposé), son maquillage ou son allure générale. C'est une violence de genre et un outil sexiste de stigmatisation qui est particulièrement facilité en ligne. Visionne une vidéo qui explicite ce type de comportement
  • Retrouve d'autres définitions relatives au cybersexime sur : www.stop-cybersexisme.com/glossaire

Que faire en cas de cyberviolence (sexiste, sexuelle : sexting, slutshaming, revenge porn,…) ?

Il y a plusieurs moyens possibles pour que le contenu (message ou image) soit supprimé par un Réseau social mais si l'image a été copiée, il n'est pas possible d'être sûr-e qu'elle ne circulera plus. Tu peux aussi déposer plainte à la police.

Pour savoir quoi faire : www.jeminforme.be/index.php/cyberharcelement-et-discriminations/cyberharcelement/que-faire-en-cas-de-cyberharcelement

Tuto pour demander le retrait de contenu intime sur les réseaux sociaux

En savoir encore plus ...

Fais le test « Toi, ton couple, ça va ? » : Réponds aux questions pour savoir si tu vis de la violence dans ton couple ?

Tu veux mieux comprendre les différentes formes de violences dans la relation amoureuse ? Clique ici 

Tu connais quelqu'un qui subit de la violence ? Clique ici

BESOIN D'AIDE?

Si tu ne sais pas quoi faire, si tu as besoin d'aide pour savoir comment réagir, n'hésite pas, appelle le 0800 30 030 ou chat sur www.arrete.be

Appel à l'aide dans l'urgence

Appelle la Police : 101

Appelle les Urgences médicales : 112

Tu as besoin d'une aide médicale car tu viens de subir une agression sexuelle ou un viol

Appelle un des Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles, ouverts 24h/24 (jour et nuit) et 7 jours/7, à Bruxelles ou Liège

www.violencessexuelles.be/centres-prise-charge-violences-sexuelles

  • Le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles de Bruxelles : 02/535.45.42 - CPVS@stpierre-bru.be

    Entrée via l'Hôpital Saint-Pierre : Rue Haute 320, à 1000 Bruxelles

  • Le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles de Liège : 04/367.93.11 - cpvs@chu.ulg.ac.be

    Entrée par le service des urgences CHU Liège : Urgences des Bruyères, Rue de Gaillarmont 600, à 4032 Chênée

Rends-toi chez un médecin ou dans un hôpital

Conseils importants pour conserver les traces d'une agression sexuelle

Comment déposer plainte ?

Rends-toi dans n'importe quel commissariat de police.

Tu peux être accompagné-e d'une personne de ton choix (que tu connais ou d'une association) qui pourra te soutenir durant le dépôt de plainte.

Plus d'informations sur le dépôt de plainte

Tu te poses des questions sur ce que tu vis ou as vécu ? S'agissait-il de violences sexuelles ?

Appelle le 0800 30 030

De 9h à 19h, du lundi au vendredi, des professionnel-les répondent dans l'anonymat, te conseillent et t'orientent si nécessaire vers des services d'accompagnement.

Les bénévoles de Télé accueil répondent en soirée, la nuit, le week-end et les jours fériés.

Chat sur ce site.

Des professionnel-les te répondent en messagerie instantanée

  • lundi : de 16h30 à 18h30,
  • mardi : de 16h à 17h
  • mercredi : de 13h à 17h
  • jeudi : de 11h à 12h

Tu as moins de 18 ans et tu as subi une agression sexuelle

Appelle Ecoute Enfants : 103

De 10h à minuit, tous les jours.

C'est gratuit et anonyme.

www.103ecoute.be


www.maintenantjenparle.be : chat sur les abus sexuels

Tu n’as pas encore 18 ans et tu as des questions sur les abus sexuels ?
Tu es victime de harcèlement sexuel ?
Connais-tu quelqu’un qui est dans ce cas et pour qui tu t’inquiètes ?

Tu peux chatter anonymement avec des professionnelles pour y voir plus clair.

Heures d’ouverture :

  • Lundi : 18h30 à 21h30
  • Mardi : 18h à 21h
  • Jeudi : 18h à 21h

Tu as 18 ans ou plus, tu as subi une agression sexuelle

Appelle SOS Viol : 0800 98 100

www.sosviol.be

En toute confidentialité, les professionnel-les de SOS Viol proposent un soutien, une écoute ou une information à toute personne victime d'agression sexuelle ainsi qu'à son entourage (famille, amis, relations, etc.).

SOS VIOL met gratuitement à ta disposition :

  • Une écoute téléphonique dans l'anonymat : 0800 98 100 (lundi de 9h à 17h, mardi-mercredi et jeudi : de 8 à 18h, vendredi de 8h à 10h et de 13h à 18h).
  • Un soutien psychologique : par téléphone ou sur rendez-vous
  • Un accompagnement social dans les démarches à effectuer
  • Une information juridique

Adresse : rue Coenraets 23 à 1060 Bruxelles.

Tu as besoin d'un soutien psychologique et/ou médical ?

Tu veux consulter un-e psychologue ou un-e gynécologue : les Centres de planning familial t'accueillent de manière chaleureuse et à des prix abordables.

Retrouve un Centre de planning familial près de chez toi : www.loveattitude.be

SOS Viol est une association spécialisée où des professionnel-les de l'écoute et de l'accompagnement proposent gratuitement des services psychologiques (même par téléphone), des conseils juridiques et un accompagnement social. www.sosviol.be - 0800 98 100

Tu cherches une aide psycho-médico-sociale à un prix abordable ? Retrouve un Service de santé mentale près de chez toi

Tu n'as pas encore 18 ans et tu cherches des conseils juridiques gratuits

Les Services droit des jeunes sont des services qui assurent une aide sociale et juridique mais aussi un accompagnement. www.sdj.be

Tu as 18 ans ou plus et tu cherches une aide sociale, juridique ou un accompagnement psychologique ?

Comment aider une victime de viol 

Une victime qui est soutenue adéquatement a plus de chance de trouver les ressources pour aller mieux.
Mais parfois, en tant que personne de soutien, on a aussi besoin de se faire aider. Quelques conseils

Que faire en cas de cyberharcèlement ?

Tu veux faire supprimer des images ou messages qui circulent sur les réseaux sociaux

RESSOURCES

Commander gratuitement des affiches ou des autocollants de la campagne

Pour aller plus loin : Sites Web

www.aimesansviolence.be : site interactif pour les jeunes (15-25 ans), vise la prévention des violences dans les relations amoureuses.

www.stop-cybersexisme.com : un site pour comprendre le cybersexisme et trouver des conseils pour se protéger ou faire de la prévention.

www.infoviolencessexuelles.be : site d'informations générales sur les différents types de violences sexuelles, mais aussi d'informations pratiques​ concernant les différents services d'aide et d'associations qui existent en Belgique pour soutenir les victimes de violences sexuelles ainsi que pour accompagner les agresseurs.

www.violencessexuelles.be : site explicatif pour les victimes, les proches, et orientant vers les Centre de prise en charge des violences sexuelles. Ce site donne des informations aux victimes, à la famille et aux amis des victimes en quête de réponses. Ce site web vise également à conseiller les victimes qui souhaitent porter plainte auprès de la police.

www.sosviol.be : le site web de cette association spécialisée dans les violences sexuelles propose des textes et ressources utiles.

www.ecouteviolencesconjugales.be : site d'informations, en lien avec la ligne d'écoute, pour les victimes de violences conjugales, les auteurs de violences conjugales, les proches et les professionnel·le·s. Il contient notamment un chat et un répertoire reprenant l'ensemble des services d'accompagnement disponibles en Wallonie et à Bruxelles.

Pour aller plus loin : Vidéos

La métaphore de la tasse de thé (Français), UQAM, https://youtu.be/jyDDYtMgPqY

Et si on parlait du consentement ?, Fédération des Centres de Planning Familiale des FPS, https://vimeo.com/user88025458 : trois vidéos sur « La communication explicite lors d'une 1ère relation », « L'effet de sidération », « La déconstruction de la notion de devoir conjugal ».

Cinq témoignages d'adolescent-es sur la question du consentement : www.onsexprime.fr/Sexe-Droits/Le-consentement/Temoignages

5 conseils avant la 1ère fois : Cinq conseils pour découvrir la sexualité à deux de manière épanouie et respectueuse. www.onsexprime.fr/Tous-les-programmes/Conseils-avant-la-premiere-fois/Conseil-1

Vidéos sur le consentement : https://consentement.info/

Project Consent, www.projectconsent.com/videos : Campagne « Consent is Simple », 3 courtes vidéos d'animation mettant en scène chacune une situation de (non) consentement

Stop slut-shaming : Courte vidéo pouvant servir de support d'animation, expliquant les enjeux de ce type de harcèlement sexiste et/ou sexuel. Une initiative du Collectif contre les violences familiales et l'exclusion (CVFE), www.youtube.com/watch?v=ZHCML4n3htw

F*ck Yes (en anglais) : “By Pie, You Mean… » : vidéo humoristique (en anglais) où un couple discute à propos du consentement www.youtube.com/watch?v=IVN4dKCRoz8

Pour aller plus loin : Matériel pédagogique

« Même pas vrai, faut pas croire tout ce qu'on raconte », Fédération des Centres de Planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes (2016). http://memepasvrai.be/wp-content/themes/gbl-toolbox/pdf/Dossier-pedagogique.pdf

« Et si on parlait de consentement lors des relations sexuelles ? » : outil pédagogique et cartes postales réalisés par les FPS (2018)

Outil pédagogique principalement destiné aux professionnel-le-s du réseau psycho-médicosocial en Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce dossier détaille les concepts et les stéréotypes abordés dans les capsules vidéo et présente des pistes de réflexion et de lecture sur la notion de consentement sexuel afin que le/la professionnel-le puisse s'en saisir, notamment dans le cadre de la mise en place d'animations. Consultez le dossier pédagogique

Cartes postales (3 modèles) : Ces supports pédagogiques peuvent notamment être utilisés pour introduire une animation. Les cartes postales peuvent être commandées par mail cpf@solidaris.be ou par téléphone au 02/515.17.68. Elles sont gratuites (hors frais d'envoi). http://www.planningsfps.be/SiteCollectionDocuments/Cartes%20postales%20finales.pdf

Kit de prévention « Stop Cybersexisme » : www.stop-cybersexisme.com/kit-de-prevention-stop-cybersexisme-spot-flyers-affiches

Affiche « Les 5 bons réflexes pour combattre le cybersexisme » : www.centre-hubertine-auclert.fr/sites/default/files/images/poster-reflxe-a2_v2.jpg

Le consentement, 100 questions sur les interactions sexuelles. Infokiosques (2011) Ces questions permettent d'élaborer une réflexion sur les interactions sexuelles et la notion de consentement. Le consentement

http://projetcrocodiles.tumblr.com/ : Harcèlement et sexisme ordinaire mis en BDs par Juliette Boutant et Thomas Mathieu

http://jeconnaisunvioleur.tumblr.com/ : visuels dénonçant les agressions sexuelles et le viol

Pour aller plus loin : Animation en classe

Les Centres de Planning familial proposent des animations EVRAS sur différentes thématiques www.loveattitude.be

« Je réfléchis et puis je clique » : animation visant à sensibiliser les jeunes à la problématique des discriminations et du cyberharcèlement. www.jeminforme.be/index.php/la-une-d-infor-jeunes/569-reseaux-sociaux-je-reflechis-et-puis-je-clique

Brochures d'information

« Les violences sexuelles, c'est quoi ? » Fédération des Centres de Planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes (2017) http://www.planningsfps.be/SiteCollectionDocuments/FINAL%20-%20Brochure_FCPFFPS_Violencessexuelles_A5.pdf

« Survivre au viol et à la prostitution », Mouvement du Nid et Education féministe et la Voix des Femmes (2013), www.centre-hubertine-auclert.fr/outil/survivre-au-viol-et-a-la-prostitution Brochure expliquant en quoi la prostitution est une violence et un viol, le fonctionnement du système prostitueur et les mécanismes des violences sexistes, et décrivant avec clarté les conséquences psychotraumatiques des violences sexuelles et tortures commises contre les femmes en situation de prostitution.

« Violence sexuelle. Comment s'en sortir ? », IEFH (2014) Brochure destinée aux victimes de violences sexuelles et toute personne y étant confrontée. Vous y trouverez les informations utiles permettant d'entreprendre les démarches nécessaires. Consultez la brochure.

Viols et violences sexuelles. Protocoles de prise en charge des victimes de violences sexuelles à destination des professionnel-le-s de la santé et de la justice : réalisé par le Conseil des femmes francophones de Belgique (2014) : www.cffb.be/wp-content/uploads/2010/08/CFFB_actes_DEF2_web_planches.pdf

Le viol, en Belgique : Amnesty International (2014) www.amnesty.be/camp/droits-des-femmes/le-viol-en-belgique/article/faits-et-chiffres

Centres de ressources : emprunter, s'informer, se faire conseiller.

Les Centres locaux de promotion à la santé (CLPS) sont les points d'appui pour toute ressource en Education à la vie relationnelle, affective et sexuelle (EVRAS).

Centre de documentation et d'information sur la vie affective et sexuelle de la Fédération Laïque de Centres de Planning Familial  (CEDIF): base de données qui répertorie tous les outils mis en prêt par le CEDIF https://cedif.doris-cpf.be/opac_css/index.php

Egalithèque du Centre Hubertine Auclert : Base de données qui répertorie les outils relatifs à l'égalité filles-garçons et aux violences dans les relations amoureuses : www.centre-hubertine-auclert.fr/egalitheque